Police Squad!
Police Squad !
Frank Drebin est un fin limier de la police de Los Angeles... enfin presque ! S'il fait bien partie de la police de Los Angeles, le lieutenant Drebin est plutôt spécialisé dans les gaffes, quiproquos, interrogatoires surréalistes et catastrophes en chaîne. C'est à se demander comment il réussit à résoudre les ...
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| Terminée | Américaine | 25 minutes |
| Comédie, Comedy, Action, Adventure, Crime, Mystery, Suspense, Thriller | ABC, Canal+, ABC (US) | 1982 |
1 avis favorable
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1.06 -
Témoignage du Mal (Les cadavres ne rient pas)
Testimony of Evil (Dead Men Don't Laugh)
Un comédien de stand-up est victime d'un accident de voiture. L'autopsie montre qu'il a été en réalité empoisonné. Drebin se charge de l'enquête et sa première piste le mène au cabaret Mr Vic's...
Diffusion originale : 08 juillet 1982
Diffusion française :
08 juillet 1982
Réalisat.eur.rice.s :
Joe Dante
Scénariste.s :
Robert Wuhl
,
Tino Insana
Guest.s :
Claudette Nevins
,
Dick Clark
,
Dick Miller
,
Jerry Lane
,
Peter Lupus
,
Wayne Winton
,
William Conrad
Tous les avis
| Avis favorable | Déposé le 09 juin 2012 à 16:29 |
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J'ai beaucoup aimé ce dernier épisode. Mais ne nous méprenons pas, l'intrigue était faible. Mon 14 est surtout lié à Leslie Nielsen, qui est pour moi merveilleux en comique/chanteur. J'ai vraiment beaucoup ri en regardant ces scènes ! D'ailleurs, ces épisodes m'ont donné envie de revoir toute la série des "Y'a-t-il un flic...", où plus de gags se passaient en arrière plan que devant ! |
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Critique : Police Squad ! 1.06
Pour clore l'aventure Police Squad, les ZAZ proposent un épisode assez standard mais qui possède encore quelques éclairs de génie comique. Au programme, un Leslie Nielsen déchaîné, une séquence à la morgue culte et l'adieu à un objet télévisuel non identifié.
Critique : Police Squad ! 1.05
Avant dernier épisode de Police Squad qui va tenter avec un certain succès de bâtir une intrigue plus ambitieuse qu'à l'accoutumée. Au programme, un épisode bien structuré, la rencontre des ZAZ avec Pat Proft et l'importance de savoir insister pour construire les meilleurs gags.
Critique : Police Squad ! 1.04
Quatrième épisode de Police Squad, sûrement l'un des moins bons des six épisodes au niveau du scénario, mais l'un des plus intéressants au niveau des gags. Le moment parfait pour s'intéresser à l'humour selon les ZAZ.

Waouh, je suis épaté par l’investissement des acteurs qui n’ont pas froid aux yeux, notamment Alan North qui reste totalement stoïque alors qu’on vient de lui lancer une véritable flèche enflammée à quelques centimètres du visage…
Sinon, pour le dernier épisode, j’ai savouré le visionnage, fermant les yeux sur les quelques défauts (notamment ce stand-up de Franck qui dure un peu trop longtemps, ressemblant à du meublage) et me régalant du feu d’artifices de gags toujours méga-inspirés (du fauteuil de la méchante qui tourne sur un autre fauteuil ou la drogue cachée dans la boite à gant et découverte après que la police ait totalement désossé la voiture des méchants ou ce déviant « married with a children »).
Clairement les ZAZ maitrisent totalement leur univers depuis « y-a-t-il un pilote » et sont prêts pour retourner sur grand écran pour ce qui est un de leurs meilleurs films, à savoir Top Secret, avant de ressortir leur Franck Drebin du placard pour une trilogie qui, certes, chute de niveau à chaque film (il n’y a pas grand-chose à sauver du dernier) mais qui engendra une vague de films comiques qui va régner un moment sur le cinéma américain, même si cette lignée enfantera peu de chefs d’œuvres (certains adorent les Hot Shot) et énormément de films plutôt plus (Alarme Fatale, Scary Movies 1) ou moins réussis (les autres Scary Movies ou tous les films avec ce pauvre Leslie Nielsen qui en fera son fond commerce). Car ces films ne feront que reprendre paresseusement ce qui pense être la recette du succès des films des ZAZ, à savoir la parodie facile de films connus, alors que non, leur humour ne repose qu’en partie sur ça, ils ont réussi à créer un monde où tout peut arriver, mais en le racontant de manière la plus sérieuse possible, ce qui fonctionne du tonnerre de Dieu. Mais surtout, je sens un véritable Amour du Cinéma chez les trois auteurs et ça fait une vraie différence.
De véritables génies à mes yeux.